Nouvelle Zélande 2016 : Jour 8 – Queenstown
Jour 8 : Te Anau – Queenstown
Après un autre super petit déjeuner et deux heures de discussion avec la propriétaire du B&B, on prend la route pour Queenstown. Comme attendu, le temps à tourné et Ô surprise : il pleut ! Deux heures de routes sous une pluie battante non stop et on arrive dans la capitale néo-zélandaise du divertissement. Et y’a pas à dire : il y a du monde ! On se gare et on part faire un tour en ville. Et pour commencer : on se fait doucher !
La ville est plus animée que les autres, Madame en profite pour faire le tour des magasins. Une fois restaurés et le tour de la ville fait, on file à l’auberge de jeunesse où j’avais réservé (j’avais eu du mal à trouver un truc pas trop cher à Queenstown tellement c’est touristique).
On récupère une chambre avec vue sur le lac, mais c’est une chambre pour trois : nous et la souris qui vit déjà ici !
On laisse la voiture là et on repart en ville. On va en effet visiter le kiwi birdlife park. On espère en effet voir le fameux kiwi et quelques autres oiseaux du coin.
On arrive à temps pour assister au moment où l’un des kiwis est nourri par un des soigneurs qui nous explique ensuite ce qu’est ce drôle d’animal. On est presque dans le noir, car ces animaux sont nocturnes (photos interdites du coup, même si quelques boulets tentent d’être discret tout en laissant leur flash …).
C’est un gros poulet sans aile de 2,5kg avec un bec fin et long et qui court partout sans arrêt, fouillant le sol pour trouver à manger. C’est assez drôle comme oiseau, et de l’avis même des néo zélandais : un peu con.
On va ensuite voir les autres pensionnaires du parc.
On retourne ensuite en centre ville pour une nouvelle balade, en allant notamment faire le tour du parc « Queenstown gardens » qui offre une belle vue sur le lac et la ville.
Il fait gris, mais il ne pleut plus, donc on profite un long moment de prendre l’air en faisant le tour de la presqu’île du parc.
Une fois le repas pris en ville, on retourne à l’hôtel pour une soirée tranquille.
Au moment de se coucher, à peine les lumières éteintes on entend un grand CLAC.
La tapette laissée par la gérante vient de se déclencher. Finalement, on dormira à deux dans cette chambre, une fois que je me serais débarrassé de la souris agonisante.